Venezuela
Le Venezuela ou Vénézuela, en forme longue la République bolivarienne du Venezuela, la République bolivarienne du Vénézuela ou la République du Venezuela, en espagnol Venezuela et República Bolivariana de Venezuela, est une république fédérale d'Amérique du Sud.
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- Le pays, qui était nommé officiellement États -Unis du Venezuela depuis 1864, prit alors le nom de République du Venezuela.... (source : americas-fr)
República Bolivariana de Venezuela (es) | |||||
République bolivarienne du Venezuela (fr) | |||||
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Devise nationale : Dios y Federación | |||||
Langues officielles | Espagnol | ||||
Capitale | Caracas |
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Plus grande ville | Caracas | ||||
Forme de l'État | République | ||||
- Président | Hugo Chávez | ||||
Superficie - Totale - Eau (%) |
Classé 33e 916 445 km2 0, 3 % |
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Population - Totale (2008) - Densité |
Classé 40e 28 199 822 hab. 31 hab. /km2 |
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Indépendance - Date |
de l'Espagne 5 juillet 1811 |
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Gentilé | Vénézuélien, Vénézuélienne
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IDH (2008) | 0, 844 (élevé) (59e) | ||||
Monnaie | |||||
Fuseau horaire | UTC -4h30min | ||||
Hymne national | Gloria al bravo pueblo | ||||
Domaine internet | . ve | ||||
Indicatif téléphonique |
+58 |
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(1) República Bolivariana de Venezuela est le nom officiel du Venezuela depuis la constitution de 1999, quand le pays fut renommé en l'honneur de Simón Bolívar. |
Le Venezuela ou Vénézuela, en forme longue la République bolivarienne du Venezuela, la République bolivarienne du Vénézuela ou la République du Venezuela, en espagnol Venezuela et República Bolivariana de Venezuela, est une république fédérale d'Amérique du Sud. Christophe Colomb, en août 1498, appela Ysla de Gracia («Île de Grâce») la terre sur laquelle il débarqua et qu'il prit pour une île[1]. Sous la forme Tierra de Gracia («Terre de Grâce»), cette expression est devenue le surnom du pays.
C'est Amerigo Vespucci qui lui donna le nom de petite Venise, Venezola, à cette contrée où une peuplade indienne résidait dans une cité lacustre à l'habitat sur pilotis, qui lui inspira le nom de la ville italienne.
Sa langue nationale est l'espagnol et sa capitale Caracas. La population est composée principalement de métis.
Histoire
La République bolivarienne du Venezuela est un pays de la côte nord de l'Amérique du Sud.
Au départ, le territoire de l'actuel Venezuela était habité par plusieurs peuples, dont des Caraïbes, des Arawaks et des Cumanagotos.
Christophe Colomb fut le premier navigateur à atteindre cette région en 1498, lors de son troisième voyage. En 1520, les Espagnols commencèrent à coloniser les îles et les régions côtières. Coro, fondée en 1527, fut la première colonie d'importance. Les habitations des autochtones añu construites sur pilotis inspirèrent aux premiers explorateurs européens le nom de Venezuela, c'est-à-dire «Petite Venise».
Premiers peuplements
Une réserve de la biosphère de 83 000 km² a été créée en 1991 dans le pays, sous l'égide de l'ONU, dans l'État d'Amazonas pour protéger ses forêts et plateaux et les tribus amérindiennes fréquemment victimes de l'exploitation minière, forestière ou agricole, ou alors du tourisme.
Géographie
Le territoire vénézuélien couvre depuis les environs de l'équateur jusqu'au nord du onzième parallèle.
Sur le continent, le Venezuela possède des frontières avec le Guyana à l'est , le Brésil au sud, la Colombie à l'ouest , et la mer des Caraïbes au nord. On peut y distinguer trois grandes régions : la côte et les Andes au nord ainsi qu'à l'ouest , les plaines au centre et le massif guyanais au sud-est .
- La pointe septentrionale de la cordillère des Andes culmine à 4 981 m au Pic Bolívar. Elle enserre le lac Maracaibo et se prolonge vers l'est en longeant la côte.
- Les grandes plaines, nommées les Llanos (plaines en espagnol) occupent le nord du bassin de l'Orénoque et de ses affluents Arauca et Apure. Le fleuve se jette dans la mer des Caraïbes par un énorme delta marécageux qui occupe toute la région nord-est du pays (Delta Amacuro).
- Le sud du bassin de l'Orénoque, avec son affluent Caroní, est sauvage et fréquemment touristique. On y trouve un des hauts lieux touristiques du pays : les chutes de Salto Angel hautes de près de 1 000 mètres, reconnues comme les plus hautes chutes d'eau au monde.
Il possède aussi 72 îles, dispersées dans la mer des Caraïbes et dans l'océan Atlantique, regroupées dans les Dépendances fédérales. Margarita est la plus grande et principale.
Grandes villes
La capitale du Venezuela, Caracas, couvre d'est en ouest de l'autre côté de la cordillère côtière, à quelques 900 m d'altitude. Il faut compter à peu près une demi-heure pour parcourir la trentaine de kilomètres qui sépare l'aéroport, localisé en bord de mer, de la ville. Près de 5 millions d'habitants habitent la métropole. Les quartiers pauvres se nomment les ranchos. Des pluies diluviennes, suivies d'importants glissements de terrain dans des zones fortement peuplées proche de l'aéroport international Simon Bolivar (La Guaira - État de Vargas) ont fait des milliers de morts en décembre 1999. Cette triste page de l'histoire vénézuélienne est fréquemment nommée «La tragédie» par les autochtones.
Maracay, la seconde métropole du pays, est la capitale de l'État d'Aragua.
Les principales villes du pays sont :
Ville | Population 2005 | Aire métropolitaine |
---|---|---|
Caracas | 3 000 000 | 5 000 000 |
Maracaibo | 1 200 000 | 2 600 000 |
Valencia | 742 000 | 1 421 000 |
Maracay | 850 000 | 1 385 000 |
Barquisimeto | 895 000 | 1 100 000 |
Ciudad Guayana | 747 000 | 780 000 |
Barcelona | 425 000 | 600 000 |
San Cristóbal | 380 000 | 847 000 |
Ciudad Bolívar | 320 000 | — |
Maturín | 350 000 | — |
Mérida | 205 000 | 350 000 |
Frontières terrestres
Cependant, le Venezuela revendique le territoire correspondant au Guyana actuel, allant quelquefois à repousser ses frontières jusqu'au Suriname. Sur les cartes du Venezuela, le Guyana est indiqué comme Zone en réclamation.
Drapeau
Le 7 mars 2006, le Parlement du Venezuela adopte la modification du drapeau national pour l'adapter à la «révolution socialiste» du président Hugo Chávez, à l'initiative du projet. Entièrement contrôlé par les partisans du chef de l'État suite au boycott des élections législatives par l'opposition en décembre, le Parlement a accepté l'ajout d'une huitième étoile en hommage au héros national Simón Bolívar, libérateur de l'Amérique latine et inspirateur de l'idéologie du régime. Les députés vénézuéliens ont aussi modifié le galop du cheval blanc figurant sur l'écusson national pour le tourner, non plus vers la droite, mais vers la gauche, pour symboliser l'orientation politique du gouvernement. Cependant, en termes d'héraldique, le cheval se déplace vers la dextre, ce qui rend le message légèrement confus. Le Parlement a aussi décidé certains ajouts sur l'écusson, tels qu'un kayak, un arc et une flèche représentant les armes des autochtones ou une machette de paysan, en hommage aux racines des descendants d'origine africaine.
Organisation territoriale
Économie
Le Venezuela est un pays en développement à revenus moyen-supérieurs.
Le pays est un important producteur de pétrole et un membre fondateur de l'OPEP. Le Venezuela est membre du Mercosur dont il est un membre effectif depuis 2006. Le pays possède une économie de marché. Cependant, le gouvernement de Hugo Chavez déclare vouloir créer une économie socialiste par la Révolution bolivarienne.
Le Venezuela est la troisième puissance économique latino-américaine en terme de produit intérieur brut, après le Brésil et le Mexique, avec un PIB estimé de 350, 1 milliards de dollars en 2009 selon la Banque Mondiale, mais macroéconomiquement parlant, elle est la cinquieme après le Bresil, Le Mexique, l'Argentine et la Colombie selon Le Fonds monétaire international (FMI) [2].
Le PIB par habitant est de 12 785 dollars en 2008, soit un des plus élevés d'Amérique latine. Dans ce pays pétrolier, un plein de carburant coûte moins d'un euro. Grâce aux exportations d'or noir, les caisses de l'État sont pleines et les centres commerciaux ne désemplissent pas. Le pouvoir d'achat au Venezuela est beaucoup plus élevé que dans les autres pays sud-américains tels que l'Équateur ou le Pérou. Les prix des denrées de base sont fixés par l'Etat, ce qui explique, selon l'opposition, la grave pénurie de lait, de sucre et d'œufs. Selon le gouvernement cette pénurie est due à un rachat de ces denrées par des multinationales[3].
Caracas est le centre économique, financier et industriel du Venezuela. Le pays est particulièrement industrialisé, 51% du PIB national provient des activités industrielles. L'industrie manufacturière est apparue dans le pays au cours du XXe siècle. Hormis le pétrole, le pays est un grand producteur d'acier, d'aluminium, de ciment et de pneus. L'industrie automobile est présente au Venezuela depuis les années 90, avec l'installation surtout de la société américaine Ford.
Il existe de très fortes inégalités sociales au Venezuela. Ainsi, près de 60% des habitants de Caracas s'entassent dans des favelas, tandis que de 10 à 20% des Vénézuéliens n'auraient pas accès à l'eau potable et que, dans le même temps, le Venezuela est le pays ayant le plus de millionnaires en Amérique latine.
Politique
Le président actuel est Hugo Chávez Frias, depuis le 2 février 1999 (réélu le 30 juillet 2000 et le 3 décembre 2006). Une tentative de déstabilisation économique aboutit à un coup d'État en avril 2002 qui avorte particulièrement rapidement suite à une forte mobilisation populaire en faveur du retour de Chávez ainsi qu'à la faiblesse de la coalition portée au pouvoir menée par Pedro Carmona.
Hugo Chávez a remporté l'ensemble des élections avec 60 % des voix à peu près depuis celle qui l'a porté au pouvoir. L'opposition provoque un référendum révocatoire contre le président comme le permet la Constitution bolivarienne en août 2004. Le «non» l'emporte à 59, 06 % des suffrages. Lors des élections régionales de 2004, seules deux régions ne se sont pas prononcées en faveur de son parti. L'État est théoriquement une démocratie participative. Depuis que l'opposition a boycotté les élections à l'assemblée nationale du 4 décembre 2005, le parlement est dominé par le Mouvement de la cinquième république (Movimiento V [Quinta] República), lequel a remporté 116 sièges sur 167. Les élections à la présidence de décembre 2006 ont confirmé Chávez à la présidence du pays et ces élections ont été unanimement reconnues comme un processus “transparent, équitable, démocratique” par l'Organisation des États Américains, l'Union Européenne, l'Association des Juristes latino-américains et la Fondation Carter.
La constitution vénézuélienne, inspirée des principes de Simón Bolívar a été votée par référendum le 30 décembre 1999.
L'opposition antichaviste qualifie quant à elle ce régime de «démocratie absolutiste» [4].
En janvier 2007, le président a annoncé vouloir réformer en profondeur la constitution, afin d'aller vers la création d'une «République socialiste du Venezuela» [5].
Chaque État du Venezuela est dirigé par un gouverneur élu lors d'élections au suffrage universel.
La Constitution Bolivarienne de 1999 oblige le Gouvernement - dixit le discours officiel - à «renverser les données économiques qui, dirigées par le Fonds monétaire international (FMI) avaient été la cause de la «décennie perdue» (1985-1995), et ses terribles effets négatifs sur les populations et leurs dispositifs économiques». Le président Chávez applique cette Constitution avec insistance. Son action politique est centrée sur le renforcement du rôle de l'État par le biais de nationalisations et la revalorisation du pétrole, principal produit d'exportation du pays. Elle vise à se libérer des impositions d'une lourde dette, qui grevait en 1998 50 % du budget national, en la payant. Le gouvernement cherche aussi à satisfaire la dette sociale d'urgence : santé, alimentation, éducation (missions civico-militaires de grande pénétration populaire). De nouvelles lois sont rédigées concernant la réforme agraire, la banque centrale, l'exploitation d'hydrocarbures (gaz, pétrole), la fiscalité, le contrôle de monnaies et devises, etc.
En 2007, Hugo Chávez demande des pouvoirs spéciaux qui grâce à une «loi d'habilitation révolutionnaire» lui permettent de gouverner par décrets sans passer par le parlement, dans les prochains dix-huit mois à partir du 1er janvier 2007. Ces pouvoirs spéciaux sont limités aux thèmes sociaux (recentralisation des ministères de la santé, du logement et de la sécurité alimentaire), à la réforme agraire (inventaire, récupération et distribution de l'ensemble des terres non ou mal exploitées à des coopératives) ainsi qu'à la récupération par achats des services publics et industries stratégiques, privatisées dans les dernières décennies (électricité, eaux, télécommunications, industrie pétrolière et minière : fer, aluminium or et diamants). Ce programme est déjà en marche depuis le 1er janvier 2007, avec des répercussions variées : particulièrement critiqué par les grands propriétaires terriens, la majorité titulaires de documents quelquefois douteux, mais acceptés par plusieurs, en regard de l'apparente flexibilité appliquée dans chaque cas spécifique par des arrangements à l'amiable. Dans l'industrie pétrolière, les partenaires commerciaux étrangers doivent désormais se contenter d'une participation minoritaire dans l'ensemble des sociétés. Jusqu'désormais tous ont accepté, bon gré mal gré, y compris Total qui exploite et modifie des pétroles particulièrement lourds de la ceinture de l'Orénoque.
En 2009, un référendum supprime la limite de deux mandats pour le président, donnant la possibilité d'ainsi à Hugo Chávez de se représenter.
Médias et liberté de la presse
En 2006, le Venezuela était classé 115e pays sur 168 par Reporters sans frontières en matière de liberté de la presse. L'ONG Espacio Público a recensé cette même année 106 atteintes à la liberté d'expression sans en indiquer l'ou les origines[6]. RSF pointe l'adoption de nouvelles lois en 2004 et 2005 contre différents types d'«offenses», surtout à la personne du président, et contre les appels à la violence, les jugeant «très restrictive[s] en matière de liberté d'expression» et affirmant qu'elles créent «un climat d'autocensure au sein des médias»[7]. La position de RSF vis-à-vis du gouvernement Chávez est cependant critiquée, cette dernière ayant repris de fausses informations données par certains médias nationaux vénézuéliens durant le coup d'État de 2002 et ne possédant comme correspondants au Venezuela que des personnes impliquées dans les médias d'opposition[8], [9].
Dimanche 27 mai 2007, une minute avant minuit, la Radio Caracas TeleVision a cessé d'émettre sur le réseau hertzien, la commission nationale des télécommunications ayant décidé de ne pas renouveler la concession hertzienne de cette chaîne en partie à cause de son soutien et de sa couverture du coup d'État de Pedro Carmona en 2002. Cependant, RCTV a continué d'émettre sur le réseau câblé et par satellite avec une audience potentielle restreinte au cinquième de la population jusqu'au 31 janvier 2010, date à laquelle elle a été retiré de la grille des programmes de l'opérateur pour non-respect de la loi sur la production nationale.
L'espace qu'occupait RCTV a été attribué à une nouvelle chaîne publique, TVes (Televisora Venezolana Social), dont, selon une étude de l'institut de recherches en communication (ininco) dirigé par le sociologue d'opposition favorable au coup d'État Oscar Lucien, 74 % des contenus relèveraient de la diffusion et de l'information socialiste[10]. Depuis ce non-renouvellement, des manifestations, surtout étudiantes, ont eu lieu pour soutenir ou protester au sujet de cette décision.
Hugo Chavez a été accusé par Le Monde d'attaquer Globovision, «dernière chaîne de télévision d'opposition» selon le journal, quand le président vénézuélien a accusé la chaîne d'inciter à son assassinat[11].
Culture
Internet est répandu au Venezuela ; un projet est d'ailleurs en cours pour que ce dernier permette à Cuba de contourner l'embargo auquel elle est soumise de la part des États-Unis aussi dans ce domaine.
Musique
La musique du Venezuela est influencée par ses origines amérindiennes, africaine et hispanique. La culture autochtone est actuellement présente dans la musique à travers certains instruments, entre autres le cameo, un tambour, et le botuto, une sorte de trompette. La culture hispanique a permis l'introduction de nombreux genres populaires, dont le galerón, le corrido et la guaracha. La musique populaire d'origine afro-antillaise est reine dans le cœur des Vénézuéliens. Le merengue, la cumbia et la salsa font danser et vibrer jeunes et moins jeunes dans la totalité du pays. Ces rythmes endiablés se sont frayé un chemin jusqu'au Venezuela, influençant les plus grands artistes contemporains du pays : Oscar D'León est sans conteste le plus connu des salseros dans le monde.
L'instrument national par excellence est le «cuatro», identique a la guitare, mais plus petit et pourvu de quatre cordes ; d'une particulièrement spécifique sonorité, il est la base musicale de l'ensemble des «conjuntos criollos», petits orchestres créoles (du pays), nommés aussi «conjuntos de harpa, cuatro y maracas», qui accompagnent les chanteurs de joropo, de valses criollos, de jotas margariteñas, de gaitas maracuchas (de Maracaibo), etc. Depuis quelques années, le Venezuela a obtenu une notoriété mondiale grâce au dispositif national d'orchestres symphoniques pour jeunes, avec d'avantage de deux cent mille participants de l'ensemble des coins du pays et des quartiers les plus démunis ; ce dispositif a democratisé et popularisé l'amour pour la musique classique de l'ensemble des temps. Actuellement, grand nombre de très jeunes virtuoses, chefs d'orchestres (Gustavo Dudamel par exemple) et musiciens sont particulièrement prisés dans les meilleures salles de concert du monde.
Sport
Le sport national est sans aucun doute le baseball. Il y a cependant d'autres sports populaires d'origine autochtone tels que les bolas criollas ou le coleo. Au contraire de ce qui se passe dans les autres pays d'Amérique du Sud, le rôle du football est assez restreint, et la sélection vénézuélienne est le respectant les traditions parent pauvre du football régional (le Venezuela est l'unique pays d'Amérique du Sud à n'avoir jamais disputé de coupe du monde), quoique les derniers résultats montrent quelques progrès.
Science
Voir : vaccin de la lèpre, et voir aussi Humberto Fernández Morán.
Démographie
- IDH : 61 sur 162
Santé
- Espérance de vie : 73, 5 ans
- Mortalité infantile : 19 pour 1000 naissances
Carte
Codes
Le Venezuela a pour codes :
- SV, selon la liste des préfixes des codes OACI des aéroports,
- VE, selon la norme ISO 3166-1 alpha-2 (liste des codes pays)
- VE, selon la liste des codes pays utilisés par l'OTAN, code alpha-2,
- . ve, selon la liste des Internet TLD (Top level domain),
- VEN, selon la norme ISO 3166-1 (liste des codes pays), code alpha-3
- VEN, selon la liste des codes pays du CIO,
- VEN, selon la liste des codes pays utilisés par l'OTAN, code alpha-3,
- YV, selon la liste des codes internationaux des plaques minéralogiques,
- YV, selon la liste des préfixes OACI d'immatriculation des aéronefs,
Notes et références
- Samuel Eliot Morison, Christophe Colomb, Amiral de la Mer océane, Saint-Clair, Neuilly-sur-Sein, 1974, p. 326.
- Le produit intérieur brut en parité de pouvoir d'achat du Vénézuela est le cinquième d'Amérique latine, après ceux du Brésil, du Mexique, de l'Argentine et de la Colombie. Voir leurs fiches respectives dans le CIA World Factbook.
- Venezuela - Chavez accuse Nestlé d'affamer son peuple, 12/02/2008, TF1, 2008. Consulté le 10-09-2009
- Démocratie absolutiste au Venezuela : l'ensemble des élus pour Chavez
- EuroNews : Hugo Chavez prête serment et la Révolution socialiste continue
- (en) «Action and reaction towards media totalitarianism», El Universal, 22 juin 2007.
- RSF - Rapport Amérique 2006
- Les vertueux correspondants de Reporters Sans Frontières au Venezuela par le «Réseau Vénézuélien des Média Communautaires» et l'«Association Nationale des Médias Communautaires, Libres et Alternatifs»
- La guerre de désinformation de Reporters sans frontières contre le Venezuela, Salim Lamrani
- «La dernière grande chaine d'information au Venezuela a cessé d'émettre», Le Monde, 28 mai 2007
- «Hugo Chavez s'en prend à Globovision, la dernière chaîne de télévision d'opposition» (31 mai 2007)
Voir aussi
Liens externes
- (es) Site officiel du gouvernement du Venezuela
- (es) Présidence de la République bolivarienne du Venezuela
- (fr) Catégorie Venezuela de l'annuaire dmoz
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